fbpx

Justine van der Meij sur les blocs à lécher KNZ

Justine, une productrice laitière néerlandaise, «vit sont rêve» avec ses 66 vaches noires et blanches. Les blocs à lécher permettent à Justine de maintenir ses vaches heureuses et en bonne santé de manière simple car elles consomment le sel dont elles ont besoin.

Justine utilise KNZ Standard pour ses vaches adultes et KNZ Junior pour ses veaux. ‘’Chaque petite chose compte lorsqu’il s’agit de satisfaire les vaches et de les maintenir en bonne santé. Un bloc à lécher peut réellement y contribuer. Mes vaches aiment y être exposées, cela stimule leur comportement naturel et permet de combler leurs besoins en minéraux. Je pense qu’elles s’en rendraient compte si j’enlevais les blocs à lécher. Elles ont inévitablement besoin de sel, c’est pourquoi le bloc à lécher est très utile’’.

Des vaches satisfaites, une productrice satisfaite

Justine utilise un support pour aider les vaches à consommer le bloc à lécher. ‘’Le support de bloc à lécher a des bénéfices non seulement pour les vaches mais aussi pour moi. Il n’est jamais dans le passage, je peux très facilement vérifier si elles ont besoin d’un nouveau ou s’il ne devient pas trop sale.’’ Justine place le bloc à lécher près de l’abreuvoir. De cette manière, les vaches peuvent choisir la quantité de sel qu’elles consomment. ’’Les vaches boivent plus d’eau lorsqu’elles utilisent le bloc à lécher, et c’est une chose importante pour une bonne production de lait’’.

C’est un faible investissement et si vous regardez à quel point les vaches aiment ça, ça vaut vraiment le coup.

Justine recommande KNZ à tout le monde. ‘’C’est un faible investissement et si vous regardez à quel point les vaches aiment ça, ça vaut vraiment le coup. Je recommande vraiment l’achat d’un bloc à lécher KNZ pour garantir la bonne santé de vos animaux d’une manière simple. Pourquoi s’en priver ?’’.

Jan-Jaap Verweij (la ferme de Jacob) sur les blocs à lécher KNZ

L’agriculteur laitier néerlandais Jan-Jaap Verweij possède 55 vaches laitières qui sont traites grâce à un robot de traite. Il déclare, "Les blocs à lécher sont un bon complément pour les animaux qui en ont besoin."

La quantité idéale

Jan-Jaap a déjà expérimenté des bolus sel/vitamines mais a rapidement réalisé que ce n’était pas nécessaire. "C’était peut-être même trop." Les aliments concentrés que les vaches reçoivent contiennent des minéraux et des vitamines. "Nous proposons des blocs à lécher pour les vaches qui ont des besoins supplémentaires. Avec les blocs à lécher, vous n’avez pas à vous soucier qu’elles en prennent trop. De plus, fournir un bloc à lécher est bien plus simple que d’administrer des bolus."

Les premiers besoins après la traite

Jan-Jaap a stratégiquement placé des blocs à lécher à la sortie de l’équipement de traite, à côté de l’abreuvoir. ‘’Après la traite, les vaches ont d’abord besoin de boire assez d’eau et peuvent ensuite lécher le bloc de sel. Elles en ont besoin’’ a observé Jan-Jaap. Les vaches utilisent un bloc tous les 5-6 jours. En hiver, la consommation est encore plus rapide dans la ferme de Jacob.

"Vous n’avez pas à vous soucier qu’elles en prennent trop avec les blocs à lécher KNZ."

Toujours fournie en sel

Jan-Jaap a temporairement arrêté de fournir des blocs à lécher et a remarqué que les vaches en avaient encore besoin. Une fois les blocs à lécher remis en place, les vaches les ont consommés à un rythme rapide. Pour s’assurer que les vaches n’en manquent pas, Jan-Jaap met désormais toujours deux blocs à lécher dans l’étable.

Jan-Jaap pense qu’il est important que ses vaches se sentent bien et reçoivent les minéraux et vitamines dont elles ont besoin d’une manière naturelle. Les blocs à lécher sont une bonne manière d’y arriver. "En plus, c’est toujours un beau spectacle de voir une vache prendre plaisir à lécher un bloc de sel."

Eric Pottier et les blocs de sel KNZ pour moutons

Eric Pottier dirige une ferme biologique, avec sa famille. Sur 83 hectares, ils élèvent 40 vaches laitières et 200 brebis allaitantes. Eric a choisi les pierres de sel KNZ pour la complémentarité, car ces pierres sont les plus résistantes et durables dans toutes les conditions. Eric trouve important de travailler avec des pierres enrichies en sélénium, en particulier pour les brebis en fin de gestation et en lactation.

Paula Koomen à propos de KNZ licks

Dans le village de Spierdijk, en Hollande-Septentrionale, Paula et Kees Koomen s’occupent de leur exploitation laitière qui compte 125 vaches laitières et 200 têtes de bétail au total. « Depuis un an, nous trayons les vaches à l’aide d’un robot de traite et tout va super bien. », explique Paula. « Pour déterminer la ration, nous examinons attentivement la santé de nos vaches, nous le faisons au feeling. L’herbe fraîche, l’ensilage, le maïs et les aliments concentrés ainsi que le sel et les minéraux constituent une ration équilibrée ».

Du sel via une mélangeuse d’aliments ou des pierres à lécher ?

Dans l’exploitation de mts. Les Koomen sont convaincus que l’ajout de sel via la mélangeuse d’aliments ne répond pas aux besoins individuels des vaches. « Nous estimons que l’ajout de sel via la mélangeuse ne correspond pas aux besoins individuels de nos vaches. Nous préférons que les vaches qui en ont besoin aient accès au sel via les pierres à lécher ».

« Répondre aux besoins en sel individuels de nos vaches »

Facile d’utilisation

« Nous utilisons les pierres à lécher de KNZ sur l’alimentation, nous trouvons que c’est le système le plus pratique. Ainsi, les vaches qui en ont besoin ont du sel à disposition ». Les besoins en sel des vaches sont déterminés par le poids, la phase de lactation et la température ambiante. Les vaches transpirent davantage par temps chaud, et leurs besoins en sel sont alors plus élevés. Paula explique : « Nous utilisons les pierres à lécher toute l’année, mais pendant les mois d’été, lorsqu’il fait très chaud, nous mettons des pierres à lécher supplémentaires près des vaches pour qu’elles aient suffisamment de sel. » Paula est également très satisfaite de la qualité des pierres à lécher de KNZ : « Elles restent bien dures, elles ne se désagrègent pas, nous les plaçons devant le cornadis, et la vache s’occupe du reste. »

Eric Pottier parlant des pierres de sel KNZ pour vaches

Eric Pottier dirige une ferme biologique, avec sa famille. Ils ont repris cette ferme il y a 7-8 ans. Au cours de l’année, ils accordent une attention particulière à l’approvisionnement en sel avec les pierres de sel KNZ, car cela est essentiel. Eric et sa famille choisissent les pierres de sel KNZ en raison de l’appétence et du fait qu’elles se tiennent bien à l’extérieur et ne se désintègrent pas facilement avec le climat. Eric a remarqué une bonne régulation avec la consommation de pierres qui est variable selon la saison, l’année et les lots.

Anne Harmsen à propos des pierres à lécher KNZ

Anne Harmsen de mts. Avec son frère et son épouse, Mme Harmsen, originaire d’Apeldoorn, exploite un élevage laitier comptant 80 vaches laitières et les jeunes bovins. « Pendant la saison, les vaches se contentent de paître dans les champs puis retournent le soir à l’étable, où elles reçoivent leur ration standard de maïs, d’herbe, de concentré et de minéraux et de sels. »

Accès libre au sel et aux minéraux

À la ferme, ils utilisent les pierres à lécher KNZ depuis leur enfance. Les pierres à lécher sont suspendues près du distributeur d’aliments et dans le pâturage à l’aide des supports spéciaux pour pierres à lécher. De cette façon, les vaches ont un accès libre au sel et aux minéraux.

« Oujours la bonne quantité de sel et de minéraux »

Un élément essentiel de la ration

Saviez-vous que le sel et les minéraux sont un élément essentiel de la ration des vaches laitières ? Les vaches laitières perdent une quantité relativement importante de sel lors de la production de lait. Ainsi, elles peuvent rapidement être carencées en sel. Les vaches qui manquent de sel perdent leur appétit, leur croissance est moins bonne et elles peuvent même perdre du poids. Ces vaches perdent leur vitalité et les carences en sel et en minéraux réduisent également la productivité.

Prévenir les carences en sel

Les vaches qui souffrent d’une carence en sel recherchent activement du sel et des minéraux dans leur environnement. Vous pouvez reconnaître ces vaches à leur besoin de lécher et de grignoter divers matériaux dans l’étable, comme le bois, l’acier, le sol, etc. Les vaches se lèchent parfois entre elles. « Je ne m’inquiète jamais des carences en sel et en minéraux chez mes vaches », déclare Mme Harmsen. « Mes vaches consomment toujours la bonne quantité de sel et de minéraux grâce aux pierres à lécher de KNZ. »

MENU KNZ